Je crois que je suis amoureuse de Frédéric Beigbeder.

Non mais sérieusement, depuis que ma tendre moitié m'a offert Nouvelles sous extasy, its not possibeul ainimor. J'ai fouillé le web à la recherche d'interviews, checké sa biographie, adhéré à sa fanpage Facebook, listé ses autres bouquins dans l'ordre décroissant de volonté de lecture ('Alors je prendrais 99 Francs la prochaine fois, ou alors L'Amour dure trois ans, ah ouaip mais Windows on the World a reçu plein de bonnes critiques aussi, oui mais quid de l'Egoïste romantique?'). Et je n'en peux déjà plus, plus, plus. D'ailleurs je prie un peu pour que cette lubie me passe rapidement parce que ça m'empêche de réviser correctement mes partiels, ces conneries.

J'ai alors l'impression de revivre ma névrose collégienne pour Ryû Murakami (névrose qui ne m'a jamais complètement quittée soit-dit en passant, vu à quel point je le love toujours autant sa race dix ans après)(BEST WRITER EVER OLOL ). Au fond ça pourrait être mignon si j'avais genre treize ans, mais je ne crois pas que la société apprécie tellement les accros voire groupies une fois la majorité franchie. Tant pis, je vais donc devoir intérioriser cette passion soudaine et ne l'exprimer bruyamment qu'avec certaines de mes camarades de fac qui ont également chopé le virus depuis perpète faire preuve de maturité et considérer Frédéric Beigbichou Beigbeder comme un simple écrivain, mais également comme un homme tel que les autres, créé selon la volonté du petit jésus. Donc STOP
(in the name of looove).

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Okay, après relecture de cet article faut vraiment que j'arrive à dormir plus de six heures par nuit maintenant. Toute cette histoire devient limite malsaine.